Ça va être dur, Caroline, me dit mon directeur de recherche. Ça y est, j’ai déraillé, c’est sûr...
Eh oui! Quelques wagons de ma locomotive ont quitté les rails. Pas l’accident du siècle, mais disons juste assez pour être un peu découragée. C’est que j’ai perdu le contrôle et je déteste ça. Il me faudra travailler pas mal pour remettre tout ça sur la track.
Des formulations alambiquées (j’ai même eu droit à l’étymologie du mot, pas que je ne comprenais pas!), une intro qui en dit trop, une problématique qui ne va pas là du tout, un contexte mince. Disons que je m’y attendais! Mais la tâche à laquelle je dois m’atteler pour le moment est, disons, immense (pour un projet de mémoire, s’entend! Je lui ai dit, au directeur : Mais là, c’est un projet!! [il fait déjà 20 pages, pas terminé, quand même])
Donc, me voilà, de retour à la maison, avec 6-7 livres en plus (des bouquins, je veux dire, mais la pression supplémentaire aussi). Le massage que je me suis payé hier a perdu tout effet de bien-être. En attendant d’apprendre à être zen et à laisser aller les choses, je me sers une bière et me fait un nachos. Je vais voir les amies ce soir, ça fera du bien.
Y a de ces incontournables qui vous remontent!
2 commentaires:
Oh Caro!
Je découvre ton blogue à l'instant... et j'y découvre ce post qui frôle le découragement!
S'il y a quelqu'une qui peut bien te comprendre, c'est moi!
Si tu veux aller prendre un café, une bière, aller décompresser... Fais-moi signe!
En attendant, je t'envoie de l'énergie et de la motivation à la tonne!
Lâche pas!
Merci pour le message d'encouragement! Je ne suis pas trop découragée, mais j'avais vraiment besoin de décompresser sur le moment même. Pour le verre, on pourrait le prendre au 4 à 7 mercredi!
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